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Donald Trump a maintenant repris son rôle de président des États-Unis et sa présence fait frémir bien des gens. Dans le domaine de l’automobile, que se passera-t-il ? Et que se passera-t-il entre autres avec l’électrification des transports ?
À peine quelques jours après son arrivée au pouvoir, Trump a déjà aboli le crédit d’impôt de 7500 $ à l’achat d’un véhicule électrique (VÉ). Et ce n’est que le début. Les constructeurs et les concessionnaires ont investi des sommes astronomiques pour que la transition vers l’électrification puisse se faire. Il faut donc que ce processus continue et qu’il y ait une certaine stabilité dans l’industrie. Ceci fera mal aux concessionnaires, mais peut-être encore plus pour les manufacturiers…
Et au Québec, comment voyons-nous la situation ? Voici ce qu’a mentionné Ian P. Sam Yue Chi, président-directeur général de la Corporation des concessionnaires automobiles du Québec (CCAQ) à ce propos : « La conjoncture actuelle, marquée par la baisse des incitatifs provinciaux, l’annulation du programme fédéral, l’imposition de pénalités importantes et les récentes déclarations de M. Trump, oblige le gouvernement du Québec à élaborer rapidement un plan d’action concret pour adapter sa transition énergétique, incluant sa Norme VZE et les pénalités qui en découlent. Nous demandons une mobilisation immédiate pour définir des actions rapides et efficaces. L’environnement politique inédit dans lequel nous évoluons impose agilité et réactivité pour réussir la transition énergétique tout en protégeant l’économie du Québec. »
L’équipe d’Affaires automobiles suit de près ce qui se passe dans l’industrie. D’autres communications vous seront donc communiquées à ce sujet.
L'article Trump et l’industrie automobile a été publié initialement sur Affaires automobiles.
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